Morocco’s Table on Five Pillars
The major resources of the Moroccan economy are agriculture, phosphates, and tourism. Sales of fish and seafood are important as well. Industryand mining contribute about one-third of the annual GDP. Morocco is the world’s third-largest producer of phosphates (after the United States andChina), and the price fluctuations of phosphates on the international market greatly influence Morocco’s economy. Tourism and workers’ remittances have played a critical role since independence. The production of textiles and clothing is part of a growing manufacturing sector that accounted for approximately 34% of total exports in 2002, employing 40% of the industrial workforce. The government wishes to increase textile and clothing exports from $1.27 billion in 2001 to $3.29 billion in 2010.
The services sector accounts for just over half of GDP and industry, made up of mining, construction and manufacturing, is an additional quarter. The sectors who recorded the highest growth are the tourism, telecoms and textile sectors. Morocco, however, still depends to an inordinate degree on agriculture. The sector accounts for only around 14% of GDP but employs 40-45% of the Moroccan population. With a semi-arid climate, it is difficult to assure good rainfall and Morocco’s GDP varies depending on the weather. Fiscal prudence has allowed for consolidation, with both the budget deficit and debt falling as a percentage of GDP.
In 2009 Morocco was ranked among the top thirty countries in the offshoring sector. Morocco opened its doors to offshoring in July 2006, as one component of the development initiative Plan Emergence, and has so far attracted roughly half of the French-speaking call centres that have gone offshore so far and a number of the Spanish ones.
According to experts, multinational companies are attracted by Morocco’s geographical and cultural proximity to Europe, in addition to its time zone. In 2007 the country had about 200 call centres, including 30 of significant size, that employ a total of over 18,000 people.
The economic system of the country presents several facets. It is characterized by a large opening towards the outside world. France remains the primary trade partner (supplier and customer) of Morocco. France is also the primary creditor and foreign investor in Morocco. In the Arab world, Morocco has the second-largest non-oil GDP, behind Egypt, as of 2005.
Since the early 1980s, the Moroccan government has pursued an economic program toward accelerating real economy growth with the support of the International Monetary Fund, the World Bank, and the Paris Club of creditors. The country’s currency, the dirham, is now fully convertible for current account transactions; reforms of the financial sector have been implemented; and state enterprises are being privatized.
The high cost of imports, especially of petroleum imports, is a major problem. Another chronic problem is unreliable rainfall, which produces droughted sudden floods; in 1995, the country’s worst drought in 30 years forced Morocco to import grain and adversely affected the economy. Another drought occurred in 1997, and one in 1999–2000. Reduced incomes due to drought caused GDP to fall by 7.6% in 1995, by 2.3% in 1997, and by 1.5% in 1999. During the years between drought, good rains brought bumper crops to market. Good rainfall in 2001 led to a 5% GDP growth rate. Morocco suffers both from unemployment (9.6% in 2008), and a large external debt estimated at around $20 billion, or half of GDP in 2002.
Dix Commandements Prioritaires: Stratégie d’Exportation pour le Maroc
Les Leçons pour le Maroc concernant la gestion du Commerce Extérieur et la Promotion des Exportations comme Moteur de la Croissance Economique, comme Remède pour la Reprise Economique et surtout comme plateforme du take-off du réel développement économique du Maroc.
Est ce que le Maroc est consideree comme une marque, une compagnie ou bien un espace?
Dans tous les cas comment une stratégie de développement peut être édifiée, spécialement pour un pays qui se caractérise par un statut subcapitaliste
Is Morocco is considered as a brand, a company or space and how a strategy of development can be built, especially in a country characterized by subcapitalistic status
Développement National ou Émergence Globale: Paradoxe Marocain
1. Solidifier ses expertises et assurer ses spécialisations,
2. renforcer l’innovation et
3. réduire les importations par des substitutions produites locales et
4. surtout favoriser une augmentation des exportations par la stimulation de demande extérieure,
5. Utiliser la présence de la population d’origine marocaine dans les pays clés pour motiver les achats des produits Marocains
6. participation active et continuelle / annuelle dans les salons, les foires et les fêtes nationales des pays ciblés et les capitales commerciales de par le monde a travers un renouvellement des produits offerts et l’introduction de nouveaux produits et de nouvelles thématiques sur l’image du Maroc Exportateur,
7. renforcement logistique de la fonction des Attachés Commerciaux (d’agriculture et de produits manufactures et artisanaux) séparés de ceux qui servent de contact pour les sociétés étrangères et d’Agents de Développement National au niveau consulaire avec comme objectif leurs directes participations dans la création d’un salon international itinérant d’exposition permanente (virtuel et mortier) pour les marchés Latino-Américain, Méditerranéen et Africain, en premier en direction des pays utilisant les mêmes langues pratiquées au Maroc.
8. ouverture de nouveaux marchés sur la base des besoins des régions intérieures du Maroc et
9. l’extension des aides financières et logistiques aux petites et moyennes entreprises marocaines au niveau de l’appropriation (en encourageant l’appropriation par les Femmes), qui favorise la création d’emploi dans les régions reculées du pays pour les désenclaver de l’isolement économique.
10. reconnaître et corriger les erreurs et les égarements des traités commerciaux signés sur la base des élans fantastiques et pour des raisons plus politiques que commerciales.
Pour cela, le Maroc devrait dorénavant et réellement définir en premier les besoins propres de son économie nationale et les impératifs de son authentique développement régional avant même d’entamer des discussions avec n’importe quel partenaire commercial étranger ou investisseur étranger et même national.
L’Etat Monarchique Marocain dont les actions demeurent influencées par les partis politiques dirigeant tout en étant une institution nationale souveraine et par dessus tout élitisme de politiques conjoncturelles et donc doit prendre directement en main et devenir responsable de toute Politique Régionale de Développement Réel du Maroc et de ses potentialités régionales et nationales.
Une telle approche ne peut que transformer toute politique de régionalisation en vecteur et cluster favorisant une plus grande interdépendance économique régionale dans le cadre de la globalisation et cela à travers les échanges commerciaux et les investissements directs étrangers bases eux aussi sur une approche de la globalisation avec une politique sélective, complémentaire et de priorité nationale et non de considérer les traités commerciaux de libre-échange comme des buts a marquer et un score a étriquer pour montrer un palmarès qui a la longueur devient un fardeau budgétaire pour les masses marocaines.
Recommandations de Dr. Said El Mansour Cherkaoui pour la Maison du Maroc:
Redéfinir les Technologies. les Modes d’Organisation, les Stratégies et les Modes d’Affaires des Entreprises pour Réussir un Développement Industriel et un Progrès Social d’ordre Technologique.
Après le House Regional Cleaning accompli par le Souverain qui avec courage royal, classe majestueuse et détermination de Leader avait prit des décisions sans équivoque pour redresser la barre du vaisseau marocain.
Dans un tel sillage, la prochaine épuration du Maroc devrait aussi se concentrer sur l’extérieur du palier de la Maison du Maroc et cela sur les plans suivants qui demeurent dans l’ensemble non exhaustif, a savoir:
1- Mieux choisir ses partenaires commerciaux extérieurs
2- mieux positionner Made in Morocco dans les choix des consommateurs internationaux;
3- Mieux sélectionner les bénéficiaires étrangers de l’attractivité sur la base du développement national intégré avec les besoins des autres régions du Maroc;
4- Se dégager progressivement de l’Offshoring Concept et Cheap Labor Label;
5- Réduire la dette publique, la dette extérieure, redresser la balance commerciale et discipliner les dépenses des administrations par une meilleure gouvernance et responsabilisation;
6- Favoriser l’Education publique de masse et réduire la pauvreté et accroître le logement social tout en rendant accessible les services de soin et les produits pharmaceutiques;
6- Promouvoir l’emploi réel et la création des entreprises porteuses de croissance locale, régionale et nationale;
7- Atténuer les raisons de la violence et de l’abus du pouvoir a tous les niveaux des relations sociales;
8- Contribuer dans une équitable reconnaissance des services rendus par les administrateurs et les fonctionnaires de l’Etat tout en accordant une dignité propre a ceux et celles qui servent dans les rangs de la sûreté nationale et la défense nationale;
9- Résolution des causes de la mendicité et de la dépravation des jeunes;
10- Renforcer les assises de l’Etat de Droit dans toutes ses expressions et ses attributions ainsi que reconnaissance des droits premiers des citoyennes et citoyens dans le partage des bienfaits sociaux et la richesse du Maroc.
Si on réussit a conditionner ces mouvements de changement dans le sens de la performance et l’efficience, nous aurons franchi un long chemin vers l’objectif de rendre le Maroc un pays égalitaire dans ses actions ou les chances sont distribuées sur la base du mérite et non de la cooptation partisane, de l’électoralisme féodalisé et du clientélisme social-corruptible.
A vos claviers pour répondre si vous estimez que le Maroc mérite un meilleur sort et une autre alternative au niveau de la politique économique que celle poursuivie par les partis politiques siégeant au gouvernement.
Dr. Said El Mansour Cherkaoui 31 – 10 – 2017